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vant de vous le donner moi meme, quand votre santé vous
le permettra et que vous viendrés sans cela en Ville. Adieu
mon Prince croyes moi a jamais Votre affectionné ami
Joseph.“
Das Liechtensteinische Archiv enthält ferner zwei Briefe
des Großherzogs Leopold von Toscana ans den Jahren 1767
und 1768; da sie aber keinen sachlichen Inhalt haben, sondern
nur die Gefühle der Freundschaft und Verehrung ausdrückcn,
so enthalten wir uns der Mittheilung derselben. Das Gleiche
aber sei nicht der Fall mit einem Briefe des Fürsten Kaunitz,
welcher die Bemühungen des Fürsten Wenzel um die Kaiser
wahl Josephs, die bekanntlich einstimmig in zufriedenstellendster
Weise geschah, lebhaft anerkennt. Er lautet:
Le Prince Votre neveu, Mon cher Prince, a été ren
voyé à Francfort si inopinément pour moi, que je n’ai pu,
par son moyen, Vous faire mes très humbles remer-
ciments pour la bonté que Vous avez eue de m’écrire.
Permettez moi donc de Vous en témoigner ma reconnais
sance par cette lettre. Vous observez très judicieusement,
que la façon, dont les choses se sont passées à cette
Election, soit par la bonne grâce dans les procédés de
Messrs les Electeurs, soit par l’exclusion de toute ingé
rence étrangère dans cette affaire domestique du Corps
Germanique, est un véritable Phénomène Politique. Il
est vrai, que le Cabinet a fait de son mieux, pour que
les choses se passassent ainsi ; mais il n’en est pas moins
vrai aussi, mon cher Prince, que la sagesse de Votre
conduite et la douceur et la politesse, donc vous avez
accompagné toutes vos démarchés, n’y ont pas médiocre
ment contribué. Je l’ai senti, et je n’ai pas manqué de
le faire sentir. J’en ai eu la joie la plus sincere par le vif
interet que je prends à tout ce qui vous regarde. Faites
moi la grâce d’en être bien persuadé, conservez moi Votre